À l’aube de mon ravissement
Le jour s’est levé tôt
Alors
Je reboise mes sentiments
Devant l’onde miroitante
Désespéré
Si l’âge désormais sonne l’heure
La nuit écourtée bat l’envie
Dehors
Le parasol de ma félicité
Ombre mon visage ridé
Espoir
De routes débalisées
Vers des horizons en prétexte