Poussés par une brise de novembre
Mes rêves se sont blottis au quai
À travers le prisme d’un larme
Passent les allégresses de l’été
Comme l’arbre au bord de l’eau
Mon cœur s’écorce
Et ma peau s’attendrit
La passion d’aimer
Par reflux obstinés
Fait lueur d’espoir
Dans la partance des appartenances
Le bercement des heures
Voile les ombres éparses
Qu’un soleil chaud
Poursuit sur les fenêtres
D’un autre printemps
Clovis, je crois que tu as oublié qu’il y a une saison entre l’automne et le printemps!!! Bientôt, tu nous parleras de congères et de froidure.
Bonne fin d’automne!
Louise