Sous le joug du présent
Nimbé de nuages épars
Chevelure embrouillée de gris
Il grignote la retraite emmiellée
Le temps s’en est allé
L’aujourd’hui égrène son hédonisme
De doutes et de savoirs
Sérénité plein la route
Les deux pieds dans l’avenir
Capteur de rêves emplumé
Au-delà du vent
Pour des lunes attendries