L E N T E U R D’E S P O I R

Endormi de mesures sanitaires

Perclus de mise à distance

Bras d’amitié encore vidés

Mon regard plane sur un lac gelé

Absorbé dans l’instant embâté

Mon âme peine et se noie

Le vent d’hier dans les arbres

Berce mon émoi qui s’épuise

Pourtant, un souffle d’espoir se lève

Malgré cet âge qui cavale

Réapprendre à rêver

Boire le bonheur à petites gorgées

Danser avec toi à nuit tombée    

Publicité

Poster un commentaire

Classé dans Réfléxions quotidiennes

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s