L’hiver retarde la belle étreinte
Pendant longtemps Il se fait tard
Les glaces craquent l’eau monte encore
Au gré du vent mu par l’envie
Le beau bateau plein de pulsions
Part la débâcle des vœux naïfs
Je meurs de toi en ce printemps
Des longs matins ensoleillés
Un bon café et un calin