Pays dévastés
Bourrasques d’attentats
Mers en écumes
Migrants en épaves
Cris pleurs tremblements
Des jours, des jours
Sans lendemains
Fixer l’horizon de la douleur
Fourmis à pleine rue
Marcher l’œil au sol
L’humain en défaillance
La vie sans visage
Partir ailleurs
Plus loin encore
Les mers à traverser
L’espoir au ventre
Demain, plus tard
Soleil d’un pays neuf
Enfin !
Ce poème est particulièrement touchant et pertinent. Merci
Envoyé de mon iPad
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Le drame pour ces réfugiés, mais, malgré tout, « l’espoir au ventre ».
Moins de 20 lignes qui parlent plus, et mieux, qu’un reportage de 20 minutes.